
Une étude de McKinsey met en avant six enseignements clés sur cette évolution de l’IA. Le dernier d’entre eux, le sixième, nous a particulièrement parlé :
L’IA agentique ne peut pas fonctionner sans supervision humaine.
L’IA agentique (ou Agentic AI) marque une nouvelle étape dans l'évolution de l'IA générative.
Jusqu’ici, les modèles étaient surtout capables de produire des réponses à partir des données qu’ils connaissaient. Désormais, ils peuvent raisonner, planifier et agir de manière plus autonome.
Cette approche, dite Agentic RAG (Retrieval-Augmented Generation), combine deux logiques :

En clair : l’IA agentique ne “devine” plus, elle réfléchit avant d’agir.
Mais à mesure qu’elle gagne en autonomie, se pose un nouvel enjeu : quelle place pour l’humain dans cette évolution ?
Même à mesure qu’elle gagne en autonomie, l’IA ne peut pas évoluer sans supervision humaine.
Le rapport de McKinsey le souligne : les agents accompliront beaucoup, mais les humains resteront essentiels pour contrôler la précision, assurer la conformité et gérer les cas limites.
L’enjeu n’est donc pas de supprimer l’humain, mais de redéfinir sa place : concevoir, ajuster et garantir la qualité des décisions prises par l’IA.
Les systèmes les plus efficaces sont ceux où l’humain reste au centre du dispositif, garant de la cohérence, du discernement et de la confiance.
En adoptant Klark, vous utilisez un copilote IA fondé sur les principes de l’Agentic RAG : il cherche l’information la plus pertinente, vérifie la cohérence et s’améliore grâce aux retours humains.
Mais contrairement à une IA entièrement autonome, le contrôle reste entre les mains de vos équipes support.
Vos agents gardent la décision finale, et chaque interaction nourrit l’apprentissage collectif.
C’est notre conviction : l’avenir du support client ne repose pas sur l’IA seule, mais sur la collaboration entre technologie et intelligence humaine.
Chez Klark, nous voulons prouver qu’une IA peut être à la fois avancée, mesurable et profondément humaine.



